22 décembre 2006
CHALEUR HUMAINE
Jamais tes bras ne me serreront assez fort.
C’est en eux que j’ai découvert la vie,
En toi, dont les caresses valent plus que l’or.
Sensuelle, sensible et sans rien
sur toi.
Chaque jour ton absence m’est
amère.
Mais c’est sans doute pour ça que
tu m’est aussi chère…
Les fleurs de ton alcôve sont un délicieux appel.
Quand le soleil se couche, c’est là que vient notre heure…
Tes soupirs et tes lèvres m’ensorcellent.
Sensuelle, sensible et sans rien
sur toi.
Don Juan et Casanova
Sont morts de ne pas connaître
une femme comme toi!
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